Par Sophie Kanjinga

Notre planète risque de s’effondrer sous les poids des catastrophes naturelles,allèrent les observatoires internationaux sur le climat au regard de l’accélération galopante des méfaits climatiques observés depuis six dernières décennies tels que les la fonte des glaces,les innovations monstres causées par les pluies torrentielles et diluviennes,la sécheresse générés par les météos très sévères. A cette liste noire, viennent s’ajouter, les spectacles désolants après le passage des typhons, des cyclones, des ouragans et autres tempêtes tropicales qui laissent derrière eux,des villes dévastées en affectant la survie des êtres animés, inanimés ainsi que les écosystèmes.
Voila pourquoi depuis la tenue de la conférence de Rio de Janeiro au Brésil en 1992, les pays membres de la convention cadre de Nations-Unies multiplient sommets et conférences, dans le but d’atténuer et maintenir la température mondiale à 1,5 degré celsius pour sauver notre planète en surchauffe.
Carboniser le système électrique mondiale ,tripler la production énergétique à travers des sources propres tout en finançant les pays émergents qui regorgent les premiers atouts climatiques d’attenuation
étaient là,les objectifs fixés lors de la Cop 28 des Émirats arabes unis avant la tenue de la Cop 29 à Bakou capitale d’Azerbaydan au Mois de Novembre 2024 dernier qui s’est terminé sur une note presque négative au regard des méfiances des quelques pays membres (comme la Nouvelle Guinée Papouasie) qui n’a pas fait son déplacement mais surtout l’absence des représentants des pays plus grands pollueurs qui refusent de payer les montants fixés par les pays émergents pour la transition énergétique et l’adaptation au changement climatique. Donc le scepticisme du président américain réélu et sa menace de retirer les États Unis de toutes les discussions sur le climat,la non applicabilité des conclusions issues des conférences internationales sur le climat accusées d’être non opposables à tous les pays membres, surtout les refus de grands de migrer des énergies fossiles aux fossiles aux énergies non polluantes, risque de compromettre notre avenir climatique commun en mettant en mal la vie sur terre.