
Conformément à l’article 77 de la Constitution, le président Félix Tshisekedi, s’est acquitté de son devoir constitutionnel. Il a prononcé son discours sur l’état de la Nation, ce mercredi 11 décembre devant l’Assemblée nationale et le Sénat réunis en Congrès, au Palais du Peuple.
Devant l’auguste assemblée, le Chef de l’Etat a brossé un tableau général de la situation du Pays. Dans son speech à la nation, il a mis l’accent sur plusieurs réformes et avancées significatives constatées dans plusieurs domaines vitaux de la nation. notamment dans le secteur de l’éducation.

Parlant desdites avancées, la gratuite de l’enseignement primaire reste une des principales priorités de son premier mandat. Sur ce, il note avec satisfaction la prise en charge et la mécanisation des enseignants assis tout comme debouts par le Trésor public.

» Au cours des dernières années, nous avons réalisé des avancées significatives. La prise en charge à ce jour par le trésor public de 279 145 enseignants nouvelles unités aussi bien au niveau maternel, primaire que secondaire ainsi que le personnel des Bureaux Gestionnaires, témoigne à suffisance notre détermination à améliorer notre système éducatif. », a souligné le Président Félix Tshisekedi.
Par ailleurs, le Président Félix Tshisekedi est revenu sur les négociations tenues organisées à Bibwa par le Gouvernement au mois d’aout de l’année en cours. c’est-à-dire des assises de la commission paritaire Gouvernement-Banc syndical de l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté à Bibwa afin d’assurer l’assainissement du fichier paie et d’identification des enseignants non payés, dans le but de déterminer l’enveloppe salariale devant être projetée au cours de l’année 2024-2025.

« Tous ces paris gagnés méritent d’être consolidés afin d’assurer l’amélioration des conditions socio-professionnelles des enseignants ainsi que les infrastructures scolaires. », a-t-il mentionné.
Béni Kinkela.