Non, que nulle ne soit trompé. La mise en place de la commission ad hoc n'entrave en rien la désactivation des écoles à faux arrêtés. Cela, dans un quelconque but de masquer des écoles fictives supposément créés sous l'ère Bakonga à l'EPST. Pourquoi? Eh bien, d'entame, aucune des 1117 à désactiver n'a été créée entre 2019 et 2020 période qui coïncide avec l'ère Bakonga à l'EPST. Les listes ont été publiées et quiconque peut vérifier. Par ailleurs, seules les écoles datant de l'époque coloniale et de l'après indépendance sont concernées par les travaux de la commission ad hoc mise en place dès le 1er avril 2020. Il s'agit des écoles qui existent avant non seulement la venue de Willy Bakonga Wilima à la tête de l'EPST mais aussi avant-même sa venue sur la terre des hommes. Il s'agit là des établissements scolaires comme le Collège Boboto de Kinshasa, le Collège Ushinbi de Lubumbashi et bien d'autres. L'action de création de la commission ad hoc par le Ministre d'Etat, Ministre de l'Enseignement Primaire, Secondaire et Technique Willy Bakonga n'a été prise que pour prévenir les contrecoups prévisibles de la désactivation des écoles qui existent depuis des décennies et où étudient des milliers d'élèves et enseignent des millions d'enseignants. Et cela, en pleine année scolaire. Gouverner n'est-ce pas prévoir ? Fallait-il laisser cette bulle péter dans un contexte de pilotage du processus de la gratuité qui n'est déjà pas de tout repos? La réponse est évidente : non. Éduc TV
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